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Lamy Guy
(1914-2000)
650,00 CHF
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Lamy Guy
(1914-2000)
1500,00 CHF
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Coghuf
(1905-1976)
350,00 CHF
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Lamy Guy
(1914-2000)
350,00 CHF
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Janebé
(1907-2000)
1600,00 CHF
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Janebé
(1907-2000)
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Janebé
(1907-2000)
850,00 CHF
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Janebé
(1907-2000)
1800,00 CHF

 

Paul FROIDEVAUX 

 (1918-1998)

Peintre lausannois

Paul Froidevaux, peintre vaudois (1918-1998)

Peintre, né a Genève le 23 août 1918, décédé à Lausanne en 1998. Etudes secondaires en France, cours de peinture à l'Académie Madeleine Frisson à Paris puis à l'atelier d'Henri Royer. De retour en Suisse à la déclaration de la Seconde Guerre mondiale durant laquelle il est mobilisé pour de longues périodes. 

Domicilié à Lausanne depuis 1939, nourri par de très fréquents séjours à l'étranger. Italie, Provence, Espagne, Grèce, Tunisie et Portugal sont tous des découvertes qui révèlent cette lumière méditerranéenne qui illumine nombre de ses tableaux. Autres sujets présents dans son oeuvre sont les paysages d'hiver du Jura ou du Pays de Vaud. Il écrira en 1979 dans son journal: "Le choc initial peut naître de rapports colorés ou de matières entre un mur à Myconos et la mer comme aussi des rapports de gris et de blancs dans un paysage hivernal."

Expose à de nombreuses reprises en Suisse. Il est présent dans des collections publiques, par exemple au Musée Cantonal des Beaux arts à Lausanne et au Musée Jenish à Vevey.

 

Paul Froidevaux expose à la société des Amis des Arts

Novembre 1992 (Neuchâtel)

Paul Froidevaux est né à Genève en 1918 d'une famille d'origine jurassienne.

En France entre 1925 et 1939, il étudie le dessin et la peinture à l'Académie Madeleine Frisson. Rentré en Suisse en 1939, il s'installe à Lausanne où il vit et travaille.

En 1963, il reçoit la Bourse Alice Bailly et depuis 1966 fait partie du Conseil de la Fondation du même nom.

Il est membre de la Société des peintres, sculpteurs et architectes suisses, section vaudoise.

A partir de 1946, Paul Froidevaux ne cesse d'exposer en Suisse et en France notamment.

De nouveaux prix récompensent son travail et ses œuvres sont présentes à travers le monde dans des collections publiques et privées.

Sa vie est ponctuée de voyages et de séjours d'étude en France, en Italie, en Espagne et en Grèce, pays qui lui révèlent une certaine qualité de lumière. D'où le titre «Paul Froidevaux, la lumière du peintre» qu'a donné Michel Terrapon à la monographie parue en 1988, à l'occasion du 70e anniversaire de l'artiste et de sa première exposition à Neuchâtel, à la Galerie des Amis des Arts.

«Quel que soit le sujet, nature morte, nu, hiver dans le Jorat vaudois ou paysage du bassin méditerranéen... Paul Froidevaux chante un hymne à la lumière. M. Terrapon ».

Peintre de vocation et de tempérament, Paul Froidevaux ne cherche pas à reproduire ou à décrire, mais à dire une sensation, un état, un moment du monde.

 

Paul Froidevaux dans la Collection jurassienne des beaux-arts (*)

La Collection jurassienne des beaux-arts conserve neuf oeuvres de Paul Froidevaux, toutes des paysages: campagnes hivernales (notamment jurassiennes), vues portuaires (Ouchy), certains plus exotiques.

La vie lausannoise du peintre est en effet ponctuée de très fréquents séjours à l'étranger: Portugal, Italie, Provence, Espagne, Grèce et Tunisie. la lumière de la Méditerranée le fascine.

Paul Froidevaux est né à Genève dans une famille originaire des Bois. Il vit en France entre 1925 et 1939, étudie le dessin et la peinture à Paris, à l'Académie Madeleine Frisson et à l'atelier d'Henri Royer. Rentré en Suisse en 1939, le peintre, dessinateur, illustrateur et créateur de tapisseries, s'installe à Lausanne où il vit et travaille jusqu'à son décès.

A partir de 1946, il présente son travail collectivement et en solo, en France et en Suisse. En 1963, Paul Froidevaux reçoit la bourse Alice Bailly.

Il expose notamment à Lausanne, en 1980 au Musée des beaux-arts et trois ans plus tard à la galerie Paul Vallotton. Le Musée historique de Lausanne lui consacre une rétrospective en 1988.

 «Grèce» (*)

Au loin, une côte qui est peut-être celle d'une île voisine. Au premier plan, très proche, un village désert, adossé au pan abrupt de la roche qui surplombe la baie.

Loin des clichés en bleu et blanc immaculés, Paul Froidevaux livre une vision des îles grecques - à moins qu'il ne s'agisse de la côte - plus intime et moins conforme aux prospectus.

Comme on peut les sentir en automne, lorsque la terre sèche se mêle aux reflets dorés de la végétation brûlée par le soleil d'été. Une douceur qui s'accommode des tons discrets des bâtisses toutes simples, au sommet arrondi en berceau, enchâssées les unes aux autres sans autre délimitation que celle des plages de couleur. Des teintes récurrentes chez un peintre à la palette constamment réduite aux teintes minérales communes. Ce sont elles qui expriment les jeux d'ombre sur les façades, rythmées par les rectangles sombres et étroits des ouvertures, permettant cette composition cubiste.

Par la touche de peinture très visible, qui entraîne des nuances, des épaisseurs accrochant la lumière, le paysage tout entier vibre. Une économie de moyens formels et de couleurs telle que sans la coupole dominant le bourg comme un phare clair dans le cie l gris, immédiatement identifiée à une église orthodoxe, on peinerait peut-être à reconnaître le sujet. On pourait même y voir, en pied au premier plan, un portrait de femme...

(*) Source : Le Quotidien Jurassien, 30 novembre 2024

 

Oeuvres de Paul Froidevaux en vente sur notre site

  

 

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